Du parking au théâtre.
Au théâtre, j’étais avec mes gaies luronnes,
On était là pour se marrer, ça, je le claironne,
Mais que fais-je là, je joue, je déraisonne,
Gustave, notre comique, on l’avait à la bonne.
Idée après idée, encore et encore, il griffonne,
Pour qu’encore une fois, grandement, il nous étonne,
Pour que jamais aucun de ses sketchs ne détonne,
Qu’ils soient vifs et joyeux, mais jamais monotones.
La grande classe pendant les mois « Anémone »,
Parking se range des voitures, il devient autonome,
Car pour lui, rien ne vaut la grande déconne,
Pour celle-là, « It is the number one »
Dans mon coin, je suis là, j’attends, je ronronne,
Quand va-t-il commencer, c’est ça qui me chiffonne,
Faut-il maintenant que je prenne ma « méthadone »,
Ou que dès à présent, hélas, j’abandonne.
Spécialiste du mime, il joue comme personne,
C’est bien lui le roi des « Pokémones »,
Il cherche, il trouve, il sélectionne,
Mais de politique, après tout, il pardonne.
Avec lui, je n’ai nul besoin de sonotone,
Il va nous faire travailler nos neurones,
Avec ses objets tous divers, il fanfaronne,
D’une poêle ou d’un soufflet, il klaxonne.
Il est là, mais sa voix portante résonne,
Qu’avec toutes ses pensées vagabondes, il raisonne,
J’en tremble encore dès que le parking sonne,
Mais pour trouver Gustave Parking, donnes !
Luron1er
Au théâtre, j’étais avec mes gaies luronnes,
On était là pour se marrer, ça, je le claironne,
Mais que fais-je là, je joue, je déraisonne,
Gustave, notre comique, on l’avait à la bonne.
Idée après idée, encore et encore, il griffonne,
Pour qu’encore une fois, grandement, il nous étonne,
Pour que jamais aucun de ses sketchs ne détonne,
Qu’ils soient vifs et joyeux, mais jamais monotones.
La grande classe pendant les mois « Anémone »,
Parking se range des voitures, il devient autonome,
Car pour lui, rien ne vaut la grande déconne,
Pour celle-là, « It is the number one »
Dans mon coin, je suis là, j’attends, je ronronne,
Quand va-t-il commencer, c’est ça qui me chiffonne,
Faut-il maintenant que je prenne ma « méthadone »,
Ou que dès à présent, hélas, j’abandonne.
Spécialiste du mime, il joue comme personne,
C’est bien lui le roi des « Pokémones »,
Il cherche, il trouve, il sélectionne,
Mais de politique, après tout, il pardonne.
Avec lui, je n’ai nul besoin de sonotone,
Il va nous faire travailler nos neurones,
Avec ses objets tous divers, il fanfaronne,
D’une poêle ou d’un soufflet, il klaxonne.
Il est là, mais sa voix portante résonne,
Qu’avec toutes ses pensées vagabondes, il raisonne,
J’en tremble encore dès que le parking sonne,
Mais pour trouver Gustave Parking, donnes !
Luron1er